Recherche par auteur : Aderhold, Carl
4 résultats.
Lu par : Manon
Durée : 5h. 20min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 27010
Résumé:A Alençon Laurent, licencié après la délocalisation de l'usine où il travaillait depuis plus de vingt ans, est quitté par sa femme Sylvie. Après une longue période de chômage, le Conseil général lui propose de s'entraîner pour représenter le département à la Coupe du monde de football des sans-emplois.
Lu par : Marie-Claude de Crécy
Durée : 5h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24563
Résumé:« Les poissons qui peuplent les océans sont innombrables, même si Pline l’ancien n’en compte que 144 variétés. Mais aucune espèce ne peut s’unir avec une autre, à la différence du cheval avec l’ânesse. Les poissons ne connaissent pas l’adultère. » Sauter dans un train, un matin. Tout quitter. À l’aube de ses quarante ans, une femme monte dans le Corail pour Toulouse et s’installe dans le premier compartiment venu. Il a suffi d’une séance de relooking, cadeau de ses copines, pour que tout son univers s’effondre : son pavillon de banlieue, son mari, sa fille, son emploi de caissière. Pour mieux marquer le début de sa nouvelle vie, elle change de prénom : Julia, comme Julia Roberts, son actrice préférée. Chaque gare de la ligne est une étape vers la liberté. Comme par contagion, tous les passagers qu’elle croise sont eux aussi emportés : Colette, la vieille dame, amoureuse de deux hommes, Germinal Serna, le contrôleur anarchiste, le Happy Days Band, la chorale déjantée, le sourd-muet, embarqué malgré lui dans le train, l’éternel dragueur, le serveur indien... Et Vincent, spécialiste des bestiaires médiévaux, qui se rend à un colloque en compagnie de sa femme et d’un autre couple de chercheurs. « Les poissons ne connaissent pas l’adultère », écrit l’un des auteurs du Moyen Age qu’étudie Vincent. Mais les historiens peuvent-ils en dire autant ? Dans ce voyage initiatique, tout se joue entre Paris et Toulouse en 6 h 06 : Julia se bat pour se libérer peu à peu de la fatalité qui pèse sur son existence, mais pourra-t-elle en modifier le cours ?
Lu par : Marie-Paule Pineau
Durée : 10h. 25min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 39340
Résumé:Contrairement à l'idée répandue, les cons ne sont pas réformables ; les campagnes de prévention ou les actions pédagogiques n'ont pas de prise sur eux. Une seule chose peut les amener non pas à changer, mais du moins à se tenir tranquille : la peur. Je veux qu'ils sachent que je les surveille et que le temps de l'impunité est révolu. Je compte à mon actif cent quarante meurtres de cons. Afin qu'ils ne soient pas morts pour rien, je vous enjoins de lire ce manifeste. Il explique le sens véritable de mon combat. » Qui n'a jamais rêvé de tuer son voisin le dimanche matin quand il vous réveille à coups de perceuse? Ou d'envoyer dans le décor l'automobiliste qui vous serre de trop près? Le héros de cette histoire, lui, a décidé un jour de passer à l'action.
Lu par : Manon
Durée : 5h. 56min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 38862
Résumé:Bien souvent, les nations se souviennent des victoires militaires qui ont fait la grandeur de leur pays, et occultent les défaites. En France, on connaît tous la date de la bataille de Marignan (1515) qui a vu François Ier terrasser les mercenaires suisses en Italie, mais bien moins celle d'Azincourt (1415) qui a infligé à l'armée française une défaite cuisante face aux Anglais. Pourtant, les débâcles militaires ont, elles aussi, fait la France. Sans la déroute de Vercingétorix à Alésia en -52, la Gaule n'aurait jamais été unifiée. Sans la défaite de la France qui mit fin à la guerre franco-prussienne en 1870, la IIIe République n'aurait pu voir le jour. Dans cet ouvrage, Carl Aderhold retrace l'histoire de huit défaites emblématiques : Alésia, Azincourt, la guerre de Sept Ans, Waterloo, Sedan, le Chemin des Dames, la bataille de France et Diên Biên Phu. Délaissant l'analyse simpliste qui voit la défaite militaire comme une catastrophe et la victoire comme un triomphe, l'historien redonne à ces événements la place qu'ils méritent dans le roman national français.